Lesorganismes de participation au sein desquels les militaires de l'armĂ©e de terre peuvent formuler des propositions compren-nent notamment : â le Conseil supĂ©rieur de la fonction militaire dont l'organi-sation et le fonctionnement font l'objet de textes parti-culiers (1) ; â les commissions consultatives dĂ©finies par le rĂšglement du service intĂ©rieur de l'armĂ©e de terre ; â
Lacuratelle est une mesure judiciaire destinĂ©e Ă protĂ©ger un majeur et son patrimoine. Elle lui permet d'ĂȘtre conseillĂ© et/ou d'ĂȘtre accompagnĂ© pour les actes importants (comportant un
Lancienne maison de la fourmi, devenue logement social pour la cigale,se dĂ©tĂ©riore car cette derniĂšre n'a rien fait pour l'entretenir. Des reproches sont faits au gouvernement pour le manque de moyens. Une commission d'enquĂȘte est mise en place, ce qui coĂ»tera 10 millions d'euros. La cigale meurt d'une overdose ; LibĂ©ration et l'HumanitĂ© commentent sur l'Ă©chec du
cash. Sa colĂšre rĂ©sonne sur les ondes au lendemain de la dĂ©capitation de lâenseignant Samuel Paty. Ce 17 octobre, Ă 12 h 50 sur Europe 1, Iannis Roder nâen est encore quâau dĂ©but dâun long marathon mĂ©diatique. Historien, membre du conseil des sages de la laĂŻcitĂ©, et surtout, depuis 2000, professeur au collĂšge Pierre-de-Geyter, Ă Saint-Denis Seine-Saint-Denis, il explique froidement Cela fait vingt ans que nous sommes quelques-uns Ă crier dans le vide. ⊠Je suis en colĂšre que certains continuent encore aujourdâhui Ă minimiser la situation et Ă ne pas vouloir voir que dans certains espaces il y a des choses extrĂȘmement graves qui se passent. » Vingt ans, une Ă©ternitĂ©. En octobre 2002, Iannis Roder sâalarmait dĂ©jĂ , dans un livre collectif, des cours contestĂ©s, des insultes antisĂ©mites et dâune rhĂ©torique islamiste radicale qui trouve un Ă©cho chez certains Ă©lĂšves ». Cet ouvrage controversĂ© sâest inscrit durablement dans le paysage intellectuel Les Territoires perdus de la RĂ©publique Mille et une nuits. AprĂšs lâassassinat du professeur Ă Conflans-Sainte-Honorine Yvelines par un terroriste islamiste, le livre et ses thĂšmes reviennent dans lâactualitĂ©. DâaprĂšs un sondage Ifop rĂ©alisĂ© sous lâĂ©gide de Iannis Roder et publiĂ© le 6 janvier pour la Fondation Jean JaurĂšs et Charlie Hebdo, 36 % des professeurs de primaire et de secondaire ont observĂ©, au cours de leur carriĂšre, des contestations de cours. Dans les collĂšges et lycĂ©es, un enseignant sur deux 49 % avoue dĂ©sormais sâautocensurer pour Ă©viter de tels problĂšmes. Ils sont aussi 19 % Ă avoir constatĂ© des formes de dĂ©sapprobations lors des cĂ©rĂ©monies en lâhonneur de Samuel Paty. DirigĂ© par lâhistorien de la Shoah et du sionisme Georges Bensoussan sous le pseudonyme dâEmmanuel Brenner, lâouvrage de 2002 pointait lâantisĂ©mitisme, le racisme et le sexisme en milieu scolaire. Mais la force du titre a outrepassĂ© le strict contenu du livre. Lâexpression les territoires perdus de la RĂ©publique » est entrĂ©e dans le langage courant. Une formule rĂ©pĂ©tĂ©e par les politiques et les mĂ©dias pour dĂ©signer ces lieux oĂč la loi française ne serait plus respectĂ©e. Le retour sur la publication de lâouvrage raconte deux dĂ©cennies de malaise et de crispations autour de lâĂ©cole. Tout part dâun constat effectuĂ© par Georges Bensoussan, alors professeur de lâĂ©ducation nationale dĂ©tachĂ© au MĂ©morial de la Shoah. Il sâoccupe, depuis 1995, de la formation des professeurs de lâacadĂ©mie de Paris sur lâenseignement de lâhistoire de la Shoah. Au fil des ans, il voit un nombre grandissant dâenseignants se confier, toujours en privĂ©, et relater des Ă©pisodes similaires. Un professeur faisait cours sur la Shoah, puis intervenaient des protestations dâĂ©lĂšves, se souvient Georges Bensoussan. DĂšs que le professeur leur rĂ©pondait, il entendait cette phrase rituelle âVous ĂȘtes juif, pour les dĂ©fendre comme ça ?â Jâavais alors beaucoup de mal Ă leur faire dire de quels Ă©lĂšves il sâagissait. Les enseignants ne dĂ©signaient jamais les fauteurs de trouble alors quâil sâagit, Ă 95 %, dâĂ©lĂšves dâorigine maghrĂ©bine. Je voyais des gens tĂ©tanisĂ©s, par peur de passer pour raciste. » Georges Bensoussan relĂšve ainsi plusieurs incidents isolĂ©s, mais jamais violents. A partir de 2000, le contexte se dĂ©tĂ©riore. La seconde intifada dĂ©bute en septembre, la violence du conflit israĂ©lo-palestinien se rĂ©percute en France, les actes antisĂ©mites se multiplient. Enfin, les attentats du 11 septembre 2001 attisent les tensions. Lorsque lâhistorien Ă©voque, en janvier 2002, ces lignes de fond Ă son Ă©ditrice, Sandrine PalussiĂšre, cette derniĂšre lui demande sâil nây a pas matiĂšre Ă Ă©crire un livre. Georges Bensoussan propose un ouvrage collectif, bĂąti Ă partir de tĂ©moignages. Il pense spontanĂ©ment Ă Iannis Roder, son collaÂborateur occasionnel au MĂ©morial de la Shoah. Roder avait dĂ©jĂ fait Ă©tat de ses difficultĂ©s dans une lettre, publiĂ©e par Le Monde le 10 avril 2002, titrĂ©e AntisĂ©mitisme Ă lâĂ©cole ». Lâenseignant y rapportait cette phrase dâun Ă©lĂšve Ă la fin dâun cours sur la Shoah Hitler aurait fait un bon musulman. » La lettre lui avait valu une convocation par la principale de son collĂšge, qui ne reconnaissait pas son Ă©tablissement dans son tĂ©moignage. Madame, derriĂšre votre bureau, vous nâentendez pas la mĂȘme chose que moi », avait rĂ©torquĂ© Iannis Roder. Les contributeurs du livre, sept enseignants et chefs dâĂ©tablissements, sont recrutĂ©s par bouche-Ă -oreille. Iannis Roder connaĂźt Barbara Lefebvre, laquelle amĂšne Sophie Ferhadjian, sa collĂšgue alors professeure dâhistoire-gĂ©ographie au collĂšge Jean-Baptiste ClĂ©ment Ă Colombes. Quatre membres du collectif Ă©crivent sous pseudonyme. Ils avaient peur des reprĂ©sailles, prĂ©cise aujourdâhui Georges Bensoussan. Nous ne donnons pas le nom des collĂšges pour cette mĂȘme Âraison, afin de garder lâanonymat des sources, mĂȘme si lâon sait trĂšs bien que cela fragilise le livre. » En revanche, Iannis Roder, Barbara Lefebvre et Sophie Ferhadjian tĂ©moignent Ă visage dĂ©couvert. A lâexception de Barbara Lefebvre, dĂ©jĂ marquĂ©e Ă droite â elle est aujourdâhui une collaboratrice rĂ©guliĂšre de Valeurs actuelles et tient une chronique dans Les grandes gueules » sur RMC â, les autres membres du collectif des Territoires sont engagĂ©s Ă gauche. Iannis Roder est membre du SNES, principal syndicat dâenseignant, et son itinĂ©raire familial est imprĂ©gnĂ© par lâantiracisme. Son pĂšre, ex-membre du Parti communiste, a portĂ© les valises du FLN durant la guerre dâAlgĂ©rie et a fait partie de ces pieds-rouges » partis former les instituteurs aprĂšs lâindĂ©pendance. Roder verra avec dâautant plus de tristesse » des personnalitĂ©s de droite et dâextrĂȘme droite, comme le journaliste et essayiste Eric Zemmour, sâapproprier les tĂ©moignages du livre Lorsque jâai compris que la presse de gauche ne sâemparait pas des questions que nous soulevions, jâai eu le sentiment que mon camp me laissait sur le cĂŽtĂ©, quâil abandonnait la cause quâil avait toujours dĂ©fendue. » Georges Bensoussan, lui, assumait le risque de voir son livre instrumentalisĂ© Si on est tĂ©tanisĂ©s par la peur dâĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©s par ses ennemis, on nâĂ©crit plus. Cela ne mâa pas Ă©branlĂ©. Je savais quâon serait rĂ©cupĂ©rĂ©s et nous lâavons Ă©tĂ©. » La rĂ©daction des Territoires perdus commence au printemps 2002, un drĂŽle de printemps qui voit le chef du FN, Jean-Marie Le Pen, se qualifier au second tour de la prĂ©sidentielle. Pour trouver un titre Ă lâouvrage, Georges Bensoussan, Iannis Roder et dâautres membres du collectif se rĂ©unissent dans un bistrot parisien. Le terme territoires » Ă©merge rapidement, quelquâun lui accole immĂ©diatement lâadjectif perdus ». DerriĂšre la fenĂȘtre du cafĂ©, la place de la RĂ©publique leur souffle le dernier mot. Ainsi naĂźt Les Territoires perdus de la RĂ©publique, dont personne nâimagine la pĂ©rennitĂ©. Câest Jacques Chirac qui en fera une formule politique Ă succĂšs. En mars 2003, Ă son bureau du MĂ©morial, Georges Bensoussan reçoit un coup de tĂ©lĂ©phone dâune collaboratrice du prĂ©sident. Au bout du fil, HĂ©lĂ©na Perroud, professeure dĂ©tachĂ©e Ă lâElysĂ©e, souhaite rencontrer les auteurs des Territoires afin de les prĂ©senter aux Ă©quipes de Xavier Darcos, adjoint de Luc Ferry, alors ministre de lâĂ©ducation nationale. HĂ©lĂ©na Perroud conseille le prĂ©sident sur lâĂ©ducation, et la rĂ©alitĂ© dĂ©crite par le livre ne lui est pas Ă©trangĂšre. Comme jeune professeure dâallemand, raconte-t-elle, jâai travaillĂ© Ă Plaisir et Ă Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines. JâĂ©tais lâune des rares Ă lâElysĂ©e, sinon la seule, Ă connaĂźtre les banlieues autrement que par des reportages tĂ©lĂ©visĂ©s. » Georges Bensoussan, Iannis Roder et Sophie Ferhadjian rencontrent alors plusieurs fonctionnaires du ministĂšre de lâĂ©ducation. De ces Ă©changes dĂ©coule lâaudition du duo Bensoussan-Roder, le 18 novembre 2003, par certains membres de la commission Stasi sur lâapplication du principe de laĂŻcitĂ©. Une commission dont le rapport dĂ©bouchera sur la loi sur les signes religieux » en mars 2004 et lâinterdiction du voile Ă lâĂ©cole. Câest la premiĂšre fois que nous sortons de lâombre », se souvient Georges Bensoussan. En fait, le moment de bascule est intervenu un peu plus tĂŽt, lors dâune allocution de Jacques Chirac Ă Valenciennes, le 21 octobre 2003. Il appelle Ă une mobilisation pour assurer la reconquĂȘte de ce que lâon a pu appeler âles territoires perdus de la RĂ©publiqueâ ». Lâexpression sera reprise par Vincent Peillon en 2003, Philippe de Villiers en 2005, SĂ©golĂšne Royal en 2007, Fadela Amara en 2008, Marine Le Pen en 2011⊠Mais câest avec les attentats de 2015 que les auteurs des Territoires perdus de la RĂ©publique se retrouvent vraiment sur le devant de la scĂšne. Etonnante coĂŻncidence, le 7 janvier au matin, Sophie Ferhadjian rencontre le rĂ©alisateur Georges Benayoun dans un cafĂ© parisien. Il lui propose de participer Ă un documentaire autour du livre. Elle refuse par souci de discrĂ©tion. Ă cet instant, la tĂ©lĂ©vision du cafĂ© annonce une tuerie dans les locaux de Charlie Hebdo. Sophie Ferhadjian ne peut plus dire non. Le film Profs en territoires perdus de la RĂ©publique ? sera diffusĂ© sur France TĂ©lĂ©visions en octobre 2015. De son cĂŽtĂ©, Iannis Roder va enchaĂźner, tout ce mois de janvier 2015, les passages sur les plateaux tĂ©lĂ© et studios radio. La journĂ©e du 8 janvier, celle oĂč se dĂ©roule la minute de silence en hommage aux douze personnes assassinĂ©es la veille, frappe les esprits. Le ministĂšre de lâEducation fait Ă©tat de 200 incidents graves â insultes, violences â de la part dâĂ©lĂšves ayant refusĂ© de respecter ce moment. Iannis Roder nâest pas surpris. AprĂšs lâassassinat, en mars 2012, par Mohammed Merah de trois militaires Ă Toulouse et Montauban, puis dâun enseignant et de trois enfants Ă lâĂ©cole juive Ozar-Hatorah Ă Toulouse, la minute de silence avait Ă©tĂ© perturbĂ©e dans son collĂšge. On ne fait rien pour les enfants palestiniens », avaient lĂąchĂ© plusieurs Ă©lĂšves. Cette fois, dans son Ă©tablissement, tout se dĂ©roule bien. Mais, face aux journalistes, Roder a dĂ©jĂ lâimpression de passer un disque rayĂ©. A chaque fois, on me dit âĂa fait longtemps que vous dites queâŠâ et je rĂ©ponds âOui, ça fait longtemps queâŠâ. » Une version poche des Territoires perdus sort en octobre 2015. Dans son addendum, Georges Bensoussan rappelle que, lors de la rĂ©daction du livre, les frĂšres Kouachi et Amedy Coulibaly Ă©taient scolarisĂ©s au collĂšge ». Le livre suscite un net regain dâintĂ©rĂȘt et se vend Ă 13 000 exemplaires en cinq ans, lĂ©gĂšrement plus que les deux prĂ©cĂ©dentes Ă©ditions. Soit un joli total, pour ce type dâouvrage, de 25 800 ventes. Un an jour pour jour aprĂšs lâattentat contre Charlie Hebdo, la ministre socialiste de lâĂ©ducation, Najat Vallaud-Belkacem, qui a mis en place les cours dâĂ©ducation morale et civique initiĂ©s par son prĂ©dĂ©cesseur Vincent Peillon, dĂ©clare sur LCI Nous avons toutes les chances de reconquĂ©rir les territoires perdus de la RĂ©publique, parce que nous nâacceptons plus aucune entorse. » InterrogĂ©e aujourdâhui, elle prĂ©cise Câest moins le livre en tant que tel qui a Ă©tĂ© une source dâinspiration dans mon action que lâidĂ©e-mĂȘme â insupportable pour moi â que des territoires, et donc des Ă©lĂšves, puissent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme perdus pour la RĂ©publique. » De fait, loin de faire consensus, lâouvrage a rapidement eu ses dĂ©tracteurs. Quand il paraĂźt en octobre 2002, Georges Bensoussan sâattend Ă un fort Ă©cho mĂ©diatique. Iannis Roder pense, avec naĂŻvetĂ© », reconnaĂźt-il aujourdâhui, quâil va ouvrir le dĂ©bat. Or si LâExpress publie bien, le 12 septembre, des extraits du livre en avant-premiĂšre, aucun journal ne prend le relais durant cet automne. Les auteurs des Territoires ont lâimpression de prĂȘcher dans le dĂ©sert. Du cĂŽtĂ© de lâĂ©ducation nationale en revanche, lâouvrage ne passe pas inaperçu. En fĂ©vrier 2003, le ministre de lâEducation nationale, Luc Ferry, annonce ses dix mesures pour lutter contre le racisme et lâantisĂ©mitisme » dont une rĂ©union dâune centaine de chefs dâĂ©tablissements sensibles ». Mais, au sein de lâinstitution, beaucoup reprochent aussi au livre lâanonymat de certains tĂ©moins et lieux, qui empĂȘche de contextualiser les situations. SpĂ©cialiste de lâenseignement de lâhistoire et des questions dâĂ©ducation civique, Benoit Falaize, aujourdâhui inspecteur gĂ©nĂ©ral de lâĂ©ducation nationale, se souvient trĂšs bien de sa parution. Il est alors chercheur Ă lâInstitut national de recherche pĂ©dagogique INRP et travaille depuis deux ans sur une Ă©tude intitulĂ©e Entre mĂ©moire et savoir lâenseignement de la Shoah et des guerres de dĂ©colonisation ». Devant sa bibliothĂšque remplie de livres dâhistoire et de peintures dâenfants, il raconte avoir Ă©tĂ© surpris par lâouvrage. Il note que les tĂ©moignages sont tous Ă charge contre les enfants de lâimmigration et remarque que les situations dĂ©crites ne concernent quâun petit nombre dâĂ©tablissements. Ce livre a entraĂźnĂ© le dĂ©bat dans des directions qui nâĂ©taient ni sereines, ni constructives, estime-t-il, car il ne semblait pas prendre en compte que la majoritĂ© des familles maghrĂ©bines musulmanes ne sont pas dans une dĂ©rive salafiste. Elles veulent que leurs enfants rĂ©ussissent comme toutes les familles du monde. » Les auteurs des Territoires perdus, pour leur part, expliquent nâavoir jamais prĂ©tendu faire un livre scientifique ni de sociologie, lâobjectif Ă©tait de livrer une succession de tĂ©moignages. Nous Ă©voquons des situations dans un contexte historique et gĂ©ographique bien prĂ©cis, dans certains Ă©tablissements, dans certaines zones urbaines, justifie Sophie Ferhadjian, dĂ©sormais inspectrice pĂ©dagogique rĂ©gionale Ă lâacadĂ©mie de Rennes. Lâobjectif est dâalerter, pas de gĂ©nĂ©raliser. » Benoit Falaize livre son rapport en septembre 2003. Son Ă©quipe a recueilli 24 questionnaires, menĂ© 50 entretiens avec des enseignants et assistĂ© Ă des cours. Il confirme que des Ă©lĂšves, souvent dâorigine maghrĂ©bine », font part dâune impression de saturation » lors des cours sur le gĂ©nocide juif et relĂšve que ces tensions sont liĂ©es Ă un passĂ© qui nâest pas encore passĂ©, le passĂ© colonial ». Mais Benoit Falaize rĂ©fute le catastrophisme des Territoires perdus de la RĂ©publique. LâenquĂȘte que nous avons menĂ©e, Ă©crit-il, ne nous amĂšne pas Ă confirmer le point de vue alarmiste sur la situation dans les Ă©coles et Ă©tablissements secondaires de banlieues populaires contenu, par exemple, dans le volume dirigĂ© par Emmanuel Brenner [Georges Bensoussan]. Ce qui ne veut pas dire que nous ne sommes pas conscients des risques, Ă court et moyen termes, de propos et dâactes inadmissibles au sein de lâĂ©cole rĂ©publicaine. » Benoit Falaize garde un goĂ»t amer de cette publication. Il dit avoir Ă©tĂ© accusĂ© de nier la rĂ©alitĂ©. Parmi les spĂ©cialistes de lâenseignement de la Shoah, lâambiance sâenvenime, le dĂ©bat se polarise. La division prĂ©figure celle qui fracture aujourdâhui la gauche et bloque tout dĂ©bat dâun cĂŽtĂ©, les tenants dâune laĂŻcitĂ© stricte » ; de lâautre, les partisans dâune laĂŻcitĂ© ouverte ». En juin 2004, lâinspecteur gĂ©nĂ©ral Jean-Pierre Obin, qui se rĂ©clame de la gauche rĂ©publicaine, tente de rebondir sur Les Territoires perdus de la RĂ©publique. Il trouve avec ce livre une fenĂȘtre de tir » pour proposer une enquĂȘte plus large, dâautant quâil estime que le recours Ă lâanonymat nuit Ă sa crĂ©dibilitĂ© ». Il lance alors son Ă©tude sur Les signes et manifestations dâappartenance religieuse dans les Ă©tablissements scolaires ». Pendant quatre mois, dix inspecteurs gĂ©nĂ©raux se rendent dans 61 collĂšges et lycĂ©es rĂ©putĂ©s sensibles dans la France entiĂšre. Dans son rapport bouclĂ© en juin 2004, Jean-Pierre Obin raconte des Ă©lĂšves qui refusent de sâidentifier comme âfrançaisâ », puis recommande de dĂ©velopper la mixitĂ© sociale et de former les enseignants Ă rĂ©pondre aux contestations politico-religieuses. François Fillon, nouveau ministre de lâĂ©ducation, ne le publie pas. Fillon a enterrĂ© mon rapport », dĂ©nonce Obin. En rĂ©alitĂ©, câest le doyen de lâinspection gĂ©nĂ©rale, Dominique Borne, qui lui savonne la planche. Jâai signalĂ© au cabinet du ministre que ce rapport nâĂ©tait pas un bon travail, rĂ©vĂšle lâhistorien. Il tirait des conclusions gĂ©nĂ©rales dâune soixantaine de cas particuliers, ce qui est trĂšs peu. Pourtant, lâInspection gĂ©nĂ©rale sait rĂ©aliser des enquĂȘtes avec des outils statistiques. Si on veut rĂ©flĂ©chir aux remĂšdes, il faut une vision scientifique de la situation. MĂȘme si les tĂ©moignages des Territoires perdus ont Ă©tĂ© utiles, on pouvait faire le mĂȘme reproche Ă ce livre. » Quant aux remĂšdes proposĂ©s par Obin, ils lui semblent trop lĂ©gers. Le rapport ne sera publiĂ© quâen mars 2005, Ă la suite de fuites dans la presse. Des annĂ©es plus tard, en 2018, la controverse autour des Territoires perdus redĂ©marre avec la parution dâun autre livre collectif qui en prend le contre-pied. Il est dirigĂ© par⊠Benoit Falaize. Alors chargĂ© dâĂ©tudes laĂŻcitĂ© au sein de la direction gĂ©nĂ©rale de lâenseignement scolaire Dgesco, il en a lâidĂ©e aprĂšs les attentats de 2015, devant les initiatives des enseignants et des Ă©lĂšves pour travailler sur la laĂŻcitĂ© et la citoyennetĂ©. Falaize rĂ©unit 31 enseignants, chefs dâĂ©tablissement ou inspecteurs dont Dominique Borne, qui racontent leurs solutions au quotidien, Ă lâencontre du discours dĂ©cliniste ». Ils pensent un temps titrer le livre Les territoires gagnĂ©s de la RĂ©publique ». Trop simpliste. Territoires vivants de la RĂ©publique sort en aoĂ»t 2018 Ă La DĂ©couverte. Marguerite Graff, qui a choisi de travailler en Ă©ducation prioritaire, aprĂšs un dĂ©but de carriĂšre dans le conseil en stratĂ©gie, fait partie des auteurs. Cela fait vingt ans que jâai envie de tĂ©moigner de la qualitĂ© de ce qui se passe Ă lâĂ©cole, explique la professeure en histoire-gĂ©ographie dans un lycĂ©e dâAsniĂšres Hauts-de-Seine. Des jeunes peuvent tenir des propos choquants, mais câest notre mission de les faire rĂ©flĂ©chir, dâarriver Ă fissurer leurs affirmations. » La dĂ©capitation de Samuel Paty ne lâa pas fait changer dâavis. Quant Ă son jugement sur le livre de Bensoussan, il est sans appel. Les Territoires perdus a Ă©tĂ© nocif pour la sociĂ©tĂ©, car il a installĂ© des prĂ©jugĂ©s sur les jeunes de banlieues, soi-disant tous antisĂ©mites, homophobes, violents, obtus⊠Seul Iannis Roder finissait par une lĂ©gĂšre note dâespoir. Lâexpression âterritoires perdusâ est mortifĂšre. » Seulement, les territoires se vendent mieux perdus » que vivants ». Le livre ne sâĂ©coule quâĂ 1 800 exemplaires. Il faut dire que lâouvrage a donnĂ© naissance Ă un sous-genre de lâĂ©dition française, avec un titre si frappant que beaucoup sâinscrivent dans son sillon, Ă lâimage dâun livre dirigĂ© par le sociologue Bernard Rougier, sorti en 2020, et qui, lui, ne traite pas de lâĂ©cole Les Territoires conquis de lâislamisme PUF. Sans dĂ©cliner le titre, Jean-Pierre Obin, lâhomme du rapport enterrĂ©, poursuit une mĂȘme logique Câest indĂ©niable que mon inquiĂ©tude et ma rĂ©flexion sâinscrivent dans la continuitĂ© des Territoires perdus. » En pleine promotion de son essai Comment on a laissĂ© lâislamisme pĂ©nĂ©trer lâĂ©cole Hermann, lâancien inspecteur gĂ©nĂ©ral dĂ©plore vingt ans de dĂ©ni et de complaisance idĂ©ologique envers des Ă©lĂšves ou des parents islamistes ». La une » du Point le 27 aoĂ»t 2020 Islamisme Ă lâĂ©cole â ce quâon ne veut pas voir » dĂ©clenche une forte couverture de lâouvrage, puis un emballement mĂ©diatique aprĂšs lâassassinat de Samuel Paty. RĂ©sultat, cinq rĂ©impressions, pour un tirage de 25 000 exemplaires. LâĂ©diteur, Arthur Cohen, se veut prudent. Sur un sujet si sensible, explique-t-il, je ne veux pas que le message soit rĂ©cupĂ©rĂ© par lâextrĂȘme droite. Je nâai envoyĂ© lâexemplaire de presse ni Ă Valeurs actuelles ni au site Boulevard Voltaire. » Jean-Pierre Obin croule sous les fĂ©licitations messages des ministres GĂ©rald Darmanin intĂ©rieur et MarlĂšne Schiappa citoyennetĂ©, lettre dâAlain JuppĂ©, citation dans la presse par un autre ex-premier ministre, Manuel Valls⊠Le 14 septembre, il rencontre Jean-Michel Blanquer. JâapprĂ©cie les propos de Jean-Pierre Obin, nous explique le ministre de lâĂ©ducation. Il a eu un rĂŽle dâalerte essentiel, mais il faut reconnaĂźtre aussi que, depuis trois ans, nous nous sommes engagĂ©s contre la radicalisation au sein de lâĂ©cole avec, par exemple, les Ă©quipes Valeurs de la RĂ©publique dans chaque acadĂ©mie. » Le 21 octobre, en visioconfĂ©rence depuis sa maison de la DrĂŽme, Obin rĂ©pond aux questions de la premiĂšre dame, Brigitte Macron. En pleine prĂ©paration du projet de loi sur les sĂ©paratismes, les parlementaires â tous membres de la majoritĂ© ou des RĂ©publicains â se lâarrachent Ă©galement. Je leur propose de dĂ©bloquer un budget pour que des sociologues rĂ©alisent enfin une enquĂȘte reprĂ©sentative sur le phĂ©nomĂšne islamiste chez les Ă©lĂšves, explique-t-il, car nous manquons de donnĂ©es. » Et de formation 74 % des enseignants nâont pas bĂ©nĂ©ficiĂ© dâune formation initiale pour enseigner le principe de laĂŻcitĂ©, selon un sondage IFOP rĂ©alisĂ© en 2018. Mais le livre fait aussi polĂ©mique. AccusĂ© dâavoir donnĂ© des gages aux islamistes sur lesquels il sâappuyait pour gouverner la fĂ©dĂ©ration du 93 », le co-prĂ©sident de la FCPE, Rodrigo Arenas, a assignĂ© Jean-Pierre Obin et son Ă©diteur pour des propos diffamatoires. Lâaudience au civil aura lieu le 20 janvier au TGI de Paris. Sur le terrain, les maux pointĂ©s par Les Territoires perdus restent une rĂ©alitĂ©. A Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, lâĂ©cole maternelle a lâair toute petite au milieu des tours de logements sociaux. Dans la cour oĂč tombent les feuilles dâautomne, en ce jour de novembre, une affiche enrubannĂ©e de noir est accrochĂ©e Ă une grille. Dessus, la photo de Samuel Paty et ces mots La France des LumiĂšres ne peut tolĂ©rer que lâobscurantisme vienne faire vaciller la flamme de la RĂ©publique laĂŻque. » La laĂŻcitĂ©, ici, ne va pas de soi », raconte la directrice, qui prĂ©fĂšre rester anonyme. Aussi joyeuse quâengagĂ©e, elle a commencĂ© sa carriĂšre dans lâĂ©ducation prioritaire. Puis quand elle est arrivĂ©e Ă Nanterre il y a vingt ans, elle a dĂ©couvert la ghettoĂŻsation de la misĂšre et la tentation de repli identitaire ». Parmi les 200 Ă©lĂšves, seuls deux ou trois ne sont pas enfants dâimmigrĂ©s. Dans son bureau colorĂ©, la directrice raconte les filles de 5 ans malades chaque semaine, pile le jour de la piscine ; le garçon de 4 ans qui tremble quand il voit de la viande non halal Ă la cantine et crie Câest le diable ! » ; des parents offusquĂ©s aprĂšs une sortie au musĂ©e Ă cause des statues de nu ; les mĂšres qui accompagneraient bien la classe aux cours de natation, mais seulement en burkini⊠La religion Ă©tait moins prĂ©sente il y a une dizaine dâannĂ©es, note-t-elle. Je dois passer beaucoup de temps Ă Ă©couter les parents, mais je ne lĂąche pas sur les principes de laĂŻcitĂ©. » Quand la directrice dâĂ©cole maternelle a lu Les Territoires perdus de la RĂ©publique, elle a en partie reconnu son quotidien. Pour la premiĂšre fois, des profs dĂ©crivaient la rĂ©alitĂ© de leurs difficultĂ©s, avec force. A-t-on su voir ces premiers signaux et en tirer les leçons ? Je ne crois pas. » Pour autant, elle juge le constat trop pessimiste ». Il fige les banlieues dans une vision sombre. On ne peut pas juste dire âcâest inacceptableâ, il faut travailler avec les familles. Jâai prĂ©fĂ©rĂ© Territoires vivants de la RĂ©publique, car il montre comment les enseignants sâen sortent. Parce quâon sâen sort. » Elle raconte ainsi comment elle a retrouvĂ© le moral, le 2 novembre, quand lâassociation des parents dâĂ©lĂšves lui a envoyĂ© un e-mail de soutien, aprĂšs la mort de Samuel Paty. Le lendemain de lâassassinat de lâenseignant, au soir dâune journĂ©e dâinterviews, Iannis Roder a lui aussi reçu un message. Il est signĂ© dâune ancienne collĂšgue, Ă la retraite. Lâune de celles qui affichaient, au dĂ©but des annĂ©es 2000, un regard gĂȘnĂ© en salle des professeurs lorsquâil souhaitait mettre Ă lâordre du jour lâantisĂ©mitisme de certains Ă©lĂšves. Le mot le touche, Iannis Roder le lit avec dĂ©termination Quel drame affreux, un collĂšgue si courageux, je tâai Ă©coutĂ© ce matin, tu avais raison depuis longtemps. » Comme quoi, depuis vingt ans, Roder nâa pas fait que crier dans le vide." Lire " Les Territoires perdus de la RĂ©publique », retour sur prĂšs de vingt ans de polĂ©mique autour de la laĂŻcitĂ© Ă lâĂ©cole".
19 Berger belge - Malinois Ă donner Bonjour, Berger Malinois de Compagnie Ă donner contre bon soins, suivit exiger âŠ. Ce nâest pas un chien de travail ! TrĂšs sociable, Ma fille [âŠ] Bonjour Cherche famille ou personne sĂ©rieuse pour adopter mon malinois. Il est ĂągĂ© de 22 mois. Je suis obligĂ©e de mâen sĂ©parer de toute urgence [âŠ] Bonjour, je suis propriĂ©taire de ă«ă« depuis 2 ans, jâai accepter dâadopter Loup car les voisin de lâancien propriĂ©taire Ă©taient devenu dangereux pour lui. AprĂšs [âŠ] Bonjour, Vivant actuellement en rĂ©gion parisienne dans un appartement on la trouve malheureuse elle a besoin dâespace et de verdure et surtout une maison et [âŠ] Bonjour Suite au dĂ©cĂšs de sa maĂźtresse, don dâune chienne malinoise qui sâappelle CĂ©lia. Elle a Ă©tĂ© opĂ©rĂ©e pour ne pas avoir de petits. Elle [âŠ] Bonjour, Nous somme une famille de 2 adultes et 2 enfants. Mon mari est tombĂ© malade en septembre 2021. Rio est un malinois au trĂšs [âŠ] Bonjour, Jâai recueilli ce chiot mais malheureusement je ne peux le garder car jâai dĂ©jĂ 1chien et 2chat. đđđ Cela me fend le cĆur Il [âŠ] Bonjour, La chienne sâappel Arya , câest une borador border collie -labrador croisĂ© Malinois. Elle tien plus le coter Malinois. TrĂšs affectueuse, demande beaucoup de [âŠ] Bonjour, Je mâappelle Emma jâai 22 ans. Malheureusement je ne suis plus dans la capacitĂ© dâassumer mon amour de chien Ă©tant logĂ© dans un foyer [âŠ] Bonjour, Nous recherchons une nouvelle famille pour accueillir notre chienne malinois prĂ©nommĂ©e Prada ĂągĂ©e de 2 ans et demi, trĂšs gentille, peureuse, vif, besoin dâespace [âŠ] Bonjour, A donner malinois. Suite Ă un dĂ©mĂ©nagement nous nâavons plus assez de place pour quâil puisse se dĂ©gourdir les pattes. Il a besoin Ă©galement [âŠ] Bonjour, Je donne mon chiens nommĂ© Bones type croise berge de taille moyenne environ 13kg, il a 4ans et est Ă jour de ces vaccin [âŠ] Bonjour, Rio mĂąle de 2 ans a confier contre bon soins. Chien trĂšs gentil joueur ne demande juste quâĂ avoir une famille fixe et pas [âŠ] Bonjour, Berger belge malinois pour adoption, pucĂ©, vaccinĂ©, pour personne ayant des connaissances avec les chiens. Aime jouer Ă la balle ,garde ,supporte les femelles [âŠ] Bonjour, Je me prĂ©sente David, je voudrais trouver une bonne famille pour mon chien berger malinois avec un peu de caractĂšre mais sociable pour cause [âŠ] Bonjour, Je souhaite donner mon chien Yoska, un malinois-husky nĂ© le 8 aout 2020, il a les yeux vairons. Je me sĂ©pare de lui car [âŠ] Bonjour, Je suis malheureusement dans lâobligation de cĂ©der mon Loulou dâamour contre trĂšs bon soins Ă©videment. Je voyage Ă©normĂ©ment avec mon travail ce qui a [âŠ] Bonjour, Berger Belge du 01/01/2013 couleur fauve masque noir. TrĂšs gentil affectueux , Ă du mal Ă supporter les chats , jamais vu leur faire [âŠ] Bonjour, Suite au dĂ©cĂšs subit de son maĂźtre pour qui il avait une adoration, donne chien mĂąle malinois 9 ans trĂšs affectueux contre trĂšs trĂšs [âŠ]
Une vĂ©randa est une piĂšce supplĂ©mentaire de la maison dans laquelle il fait bon vivre. Le projet de construire une nouvelle surface habitable sĂ©duit plusieurs personnes, dâautant quâil sâagit dâune piĂšce lampĂ©e de soleil. Cependant, construire une vĂ©randa nâest pas chose aisĂ©e, dans la mesure oĂč il faut considĂ©rer diffĂ©rentes caractĂ©ristiques relatives Ă son bon fonctionnement et sa durabilitĂ©. DĂ©marche administrative, budget, isolation, matĂ©riaux sont autant de critĂšres Ă prendre en compte avant dâenvisager la construction. En effet, en faisant appel Ă une entreprise vĂ©randa 95 professionnel, vous pourrez vous passer de tous ces encombrements. Mais nous estimons quâil est toujours important de connaĂźtre les diffĂ©rentes Ă©tapes Ă suivre avant de rĂ©aliser un tel projet. Ainsi, dĂ©couvrez dans cet article tous nos conseils pour construire une vĂ©randa dans les normes et en toute connaissance de cause. Les dĂ©marches administratives Si vous envisagez de construire une vĂ©randa qui ne dĂ©passe pas les 40 mÂČ de surface, vous nâaurez besoin que dâune autorisation de travaux auprĂšs de la mairie. Toutefois, il est conditionnĂ© que la nouvelle surface habitable ne doit pas dĂ©passer les 170 mÂČ avec la surface totale de la maison. Si la surface excĂšde les 40 mÂČ ou si la surface totale de la maison dĂ©passe les 170 mÂČ, vous devrez alors dĂ©poser un permis de construire au moins un mois Ă lâavance, et faire appel Ă un architecte. Si vous souhaitez construire votre vĂ©randa en toute praticitĂ©, certains vĂ©randalistes comme vĂ©randa 95 peuvent sâoccuper des formalitĂ©s Ă votre place. Par ailleurs, nous vous conseillons Ă©galement de vous souscrire Ă une assurance-dommage. Ainsi, en cas de litige avec le prestataire, la compagnie dâassurance se chargera de tout. Le professionnel et les Ă©quipements Pour trouver les Ă©quipements, il est possible dâaller dans les grandes surfaces de bricolages oĂč vous pourrez retrouver des vĂ©randas en kit qui sont parfaitement adaptĂ©s aux bricoleurs avertis. Mais la construction dâune vĂ©randa est un projet Ă importante envergure, alors lâintervention dâune vĂ©randa 95 compĂ©tente est recommandĂ©e. Vous pourrez ainsi bĂ©nĂ©ficier dâune garantie quant Ă la qualitĂ© des travaux. Par ailleurs, si vous choisissez un professionnel pour vos travaux de construction, nâhĂ©sitez pas Ă comparer les prix et les prestations avant dâengager un. Et surtout, optez pour un prestataire qui est certifiĂ© et qui dispose de la qualification Qualibat 9141 et Qualibat 9142 comme vĂ©randa 95. Cela vous permettra dâĂȘtre assurĂ© sur le respect de toutes les rĂšgles professionnelles qui rĂ©gissent la construction dâune vĂ©randa, et dâĂȘtre protĂ©gĂ© contre les malfaçons. Lâexposition En fonction de vos besoins et de lâutilisation que vous envisagez pour votre vĂ©randa, le type de celle-ci doit ĂȘtre diffĂ©rent. En effet, une vĂ©randa utilisĂ©e uniquement pour affronter lâhiver ne sera pas la mĂȘme quâun modĂšle qui servira pour toute lâannĂ©e. Pour cette derniĂšre option, il vous faudra crĂ©er une dalle adĂ©quate qui pourra recevoir une extension bien isolĂ©e. Et dans ce cas, des travaux de maçonnerie sont nĂ©cessaires. De plus, si vous trouvez la bonne exposition, cela permettra dâoptimiser la performance de la vĂ©randa. Pour cela, vous pouvez demander conseil auprĂšs dâune vĂ©randa 95 professionnelle. Mais de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, sauf si vous avez le choix, les experts privilĂ©gient toujours une orientation sud-est dans les rĂ©gions sud, et une orientation sud-ouest dans les rĂ©gions nord. De mĂȘme, selon vos attentes, la configuration de votre vĂ©randa sera diffĂ©rente. Une vĂ©randa qui sera utilisĂ©e comme un salon, une cuisine, ou une piscine, sera naturellement diffĂ©rente. DâoĂč la nĂ©cessitĂ© de lâintervention dâune vĂ©randa 95 experte pour rĂ©aliser une Ă©tude personnalisĂ©e afin dâadapter les conditions liĂ©es au climat et les attentes du client. Les matĂ©riaux Dâun point de vue esthĂ©tique, harmoniser le matĂ©riau de la vĂ©randa au style de la maison est la meilleure solution. Cependant, certaines rĂšglementations ne vous laissent pas le choix que de suivre le matĂ©riau imposĂ©. En effet, dans les sites classĂ©s et protĂ©gĂ©s, les vĂ©randas en acier sont obligatoires. En montagne, il faudra choisir le bois pour la construction. Ainsi, pour connaĂźtre les lois qui rĂ©gissent votre dĂ©partement, vous devrez vous renseigner auprĂšs de la commune avant dâentamer le projet. Dans tous les cas, il serait important que vous connaissiez les diffĂ©rents matĂ©riaux possibles avec leurs avantages respectifs. Lâaluminium est le matĂ©riau le plus utilisĂ© en matiĂšre de vĂ©randa puisquâil Ă©quipe prĂšs de 95 % des vĂ©randas vendues sur le marchĂ©. Câest une matiĂšre trĂšs rĂ©sistante et lĂ©gĂšre qui sâadapte parfaitement Ă tout type de style. De plus, il offre une grande variĂ©tĂ© de choix sur la couleur, la forme et le style. Enfin, il sâagit dâun matĂ©riau trĂšs design, facile Ă entretenir, et qui prĂ©sente un bon rapport qualitĂ©-prix. Pour ce qui est de lâisolation, un professionnel comme vĂ©randa 95 pourra parfaitement construire une vĂ©randa en aluminium, tout en optimisant la performance isolante de celle-ci. Si vous ĂȘtes adeptes de la nature, le bois permet dâoffrir une apparence naturelle Ă votre vĂ©randa. Design et parfait isolant, le bois apporte une touche chaleureuse Ă la piĂšce, quoique son prix soit lĂ©gĂšrement plus Ă©levĂ© que celui du modĂšle en aluminium. Et pour obtenir un charme plus accentuĂ©, le fer forgĂ© ou lâacier est le matĂ©riau idĂ©al. Lâacier est un excellent isolant et il offre un design trĂšs particulier. Câest aussi un matĂ©riau trĂšs rĂ©sistant qui permet une certaine durabilitĂ© pour votre vĂ©randa. La toiture, le vitrage et le chauffage Outre lâaspect design, la question de toiture et de vitrage doit ĂȘtre intĂ©gralement confiĂ©e Ă un professionnel. Il sâagit, en effet, dâĂ©lĂ©ments sur lesquels la luminositĂ©, lâisolation et le confort de la vĂ©randa dĂ©pendent. Il faudra ainsi une grande rĂ©flexion et une longue Ă©tude pour pouvoir dĂ©finir le type de toiture et de vitrage qui sera adaptĂ© Ă votre vĂ©randa, tout en tenant compte de vos besoins. Câest pourquoi, seule lâintervention dâun vĂ©randaliste professionnel comme vĂ©randa 95 pourra trouver le bon compromis et construire la vĂ©randa de vos rĂȘves. De mĂȘme, pour le chauffage, il nĂ©cessite une grande rĂ©flexion en fonction de lâutilisation prĂ©vue de la vĂ©randa. Il existe diffĂ©rentes possibilitĂ©s pour le chauffage, mais il doit toujours ĂȘtre en cohĂ©rence avec la condition climatique de votre rĂ©gion et de lâutilisation de votre vĂ©randa. Ainsi, faites intervenir un professionnel afin dâĂ©viter toute dĂ©ception lors de lâutilisation. Le prix Le prix dâune vĂ©randa est fonction des Ă©quipements, de la difficultĂ© du projet, des matĂ©riaux utilisĂ©s et du choix de la toiture et des vitrages. A titre indicatif, il faut prĂ©voir environ 1000 euros le mÂČ pour une vĂ©randa en aluminium. Si vous souhaitez un modĂšle haut de gamme, prĂ©voyez entre 1500 Ă 1800 euros le mÂČ. Et si vous optez pour le bois, le prix est dâenviron 2000 euros le mÂČ. Pour la main-dâĆuvre, elle dĂ©pend de lâentreprise que vous engagez. VĂ©randa 95 peut vous proposer des prestations Ă prix raisonnables. Mais bien entendu, vous pouvez Ă©galement comparer les prix avant dâengager un professionnel.
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